Comment ai je pu attendre autant pour voir SuperBad ?? Des jeunes branleurs, du cul assumé, de la picole et George Michael d’Arrested Development ? C’était EVIDENT que ça me plairait. Et bien oui.
Certes c’est plein de sous culture américaine ( l’utilisation des Fake Ids, les binouzes percées, les grad parties où on se saoule à mort ) mais si on l’a et qu’on n’est pas allergique à un humour potache mais véhiculant néanmoins pas mal de messages intéressants à décoder ( qu’est ce qui fait qu’on passe du statut de paria social à celui de star ? Où s’arrête l’amitié entre mecs et où commence l’amour ? Pourquoi faire du sexe bourré c’est mal ? ) , SuperBad permet de passer un bon moment.
Et non je n’ai pas oublié que je commenterai la pièce mais là, j’ai regardé SuperBad entre Lyon et Amsterdam pour passer le temps…